Le convertor, l'adaptateur et les cartouches Nakaya sont offerts - Frais d'envoi offerts. Délai de livraison : 6 mois environ. Cette pièce est réalisée à partir d'un stylo plume en ébonite de la collection "Portable", recouvert de laque urushi sur laquelle a été saupoudré de la poudre de charbon de bois, technique appelée Sumiko ou Sumi. Le Sumiko donne a la pièce une certaine matité, qui rehausse le dessin de couleur. La toile de l'araignée est dessinée avec un pinceau très fin et travaillée en Togidashi de poudre d'argent. Technique dérivée de l'Hira-maki-e, le relief plat, le Togidashi maki-é utilise des particules de métal plus grosses. Une fois les grains de métal bien incrustés dans la laque, l'artiste recouvre le motif avec plusieurs couches de laque jusqu'à ce qu'il disparaisse. Une fois sec, le polissage s'effectue jusqu'à ce que le motif réapparaisse. L'araignée, réalisée en Taka maki-é utilise des laques jaune et noire. Technique de haut relief utilisant un agent épaississant mélangé à la laque. Une fois sec, le polissage s'effectue en prenant soin de respecter les épaisseurs qui donneront l'effet de relief. Le bloc section est entièrement travaillé en poudre d'or et laque et un papillon ayant échappé à la toile semble voler vers sa liberté. Le papillon en laque urushi poudré d'or cache des teintes de laque urushi blanche et noire. Votre stylo plume est équipé d'une plume en or jaune 14 carats, dont les courbes et la souplesse ne sont plus à vanter. Le système de remplissage est à cartouche ou convertor. La marque Nakaya est l'une des très rares au monde à proposer des stylos-plume uniques, s'adaptant parfaitement aux attentes et aux habitudes d'écriture de clients passionnés ; le slogan de Nakaya " For your hand only " exprime très bien cette spécificité. * La laque utilisée au Japon se nomme Urushi. Elle provient de la résine d'un arbre appartenant, comme l'hévéa, à la familles des sumacs : Rhus Verniciflua ou, plus couramment, arbre Urushi, Vernis du Japon ou Arbre à laque. * Le mot français "laque" provient de l'hindoustani Lakh, ce qui explique vraisemblablement que nous identifions à ce mot la laque indienne Coromandel et beaucoup moins à la laque extrême-orientale de type sumac.